Le site de Tous les Supporters du Stade Malherbe Caen

Le suspense va être insoutenable...

Pour les habitués de longue date du site, ils se souviendront peut-être de l’étude du calendrier 2008-2009 qui avait été faite il y a maintenant près d’un an. SMCaen.net avait alors déclaré qu’il faudrait au mieux s’être maintenu avant l’ultime série de matches que l’on avait qualifiée comme étant « la plus dangereuse » de la saison. Trente-six journées plus tard, le constat peut faire peur car le maintien n’est pas assuré pour les hommes de Franck Dumas. Comme redouté par de très nombreux supporters, il faudra aller à Lyon et recevoir Bordeaux en jouant le couteau entre les dents. Autant dire que pour les Bas-Normands, la véritable bataille démarre maintenant…


Maintien : qui y est, qui n’y est plus ?

Avant d’évoquer toute possibilité concernant le maintien, il est préférable de faire un état des lieux afin de savoir quelles équipes sont dans la lutte. Il y a encore quatre journées, les spécialistes annonçaient que la lutte allait s’axer autour de cinq équipes : Caen, Le Havre, Saint-Etienne, Sochaux et Nantes.
Aujourd’hui la donne a quelque peu changé. Déjà très mal embarqué, Le Havre, en s’inclinant face à Saint-Etienne la semaine dernière s’est automatiquement condamné à la Ligue 2 et n’a plus rien à jouer dans ce championnat. Avec neuf points de retard sur le 19ème et six points encore en jeu, Le Havre est définitivement accroché à son statut de lanterne rouge et plus rien ne le lui ôtera.
Dans le même temps, alors qu’il comptait six points d’avance sur le premier relégable au soir de la 32ème journée (soit une avance confortable), Le Mans s’est inexplicablement écroulé. Avec une série de quatre défaites et une avance sur le premier relégable réduite à 2 points, Le Mans fait désormais partie des équipes en lutte et nul ne pourra le nier.
Sochaux, Caen, Saint-Etienne et Le Mans sont à coup sûr dans la lutte. Et vous aurez sûrement noté l’absence d’un candidat pour le maintien dans cette liste. Ceci n’est pas une erreur de la rédaction car même si le FC Nantes, actuel 19ème n’a pas perdu tout espoir, sa situation pose questions. Avec 34 points, les joueurs d’Elie Baup accusent un retard de 3 unités sur le premier relégable avec une différence de but catastrophique de -21. Il n’y a pas mille issues pour les joueurs Nantais car à présent, ils sont les seuls à ne plus avoir le droit de perdre un seul match. Au vu de leur dynamique actuelle, malgré le fait que le football réserve évidemment parfois des surprises, on peut d’ores et déjà dire que Nantes, sans être coulé, est tout de même sacrément lâché.


Un peu de statistiques pour nos internautes

Tous les résultats de la 36ème journée connus, SMCaen.net a pu s’adonner à quelques calculs mathématiques pour déterminer les chances qu’avait le Stade Malherbe de Caen de rester parmi l’élite la saison prochaine en fonction de ses statistiques présentes et passées ainsi qu’en fonction des statistiques de classement des années précédentes. Embrouillés ? Lisez ce qui suit et vous devriez comprendre.

Quelle chance a-t-on de descendre avec 8 victoires seulement au compteur, soit le nombre de victoires caennaises en ce moment ? On cherche bien sûr à savoir si Caen a une chance de se maintenir même sans parvenir à battre ni Bordeaux ni Lyon. Retour sur le passé…

En nous basant sur le système de championnat actuel (20 clubs et victoire à 3 points) nous avons calculé le pourcentage de clubs s'étant maintenu avec 8 victoires seulement au compteur: 4%! Vous aurez vite compris que le nombre de succès malherbistes n'est statistiquement pas suffisant. A titre indicatif, au cours des sept dernières saisons, seul Bordeaux s’est maintenu avec juste huit victoires. C’était en 2004-2005 lors de la dernière descente malherbiste. Outre cet unique fait, tout club qui avait moins de neuf victoires, tout simplement, est systématiquement descendu… pas rassurant ! Autant dire que le SMC serait bien avisé d’accrocher au moins Bordeaux ou Lyon à son tableau de chasse.

Quelle chance a-t-on de descendre en étant 16ème à deux journées de la fin ?

La statistique se veut rassurante pour les Caennais actuels détenteurs de la 16ème position au classement de Ligue 1. Au cours des dix dernières années, un seul club pourtant 16ème à l’issue de la 36ème journée s’est vu relégué à l’étage inférieur. Il s’agit de Guingamp lors de la saison 2003-2004. De manière générale, le trio relégable à deux journées de la fin est le trio finalement relégué en Ligue 2. Sur les 18 relégués des six dernières années (3 relégués X une durée de six ans), 89% l’étaient déjà à deux journées du terme. Voilà qui ne va pas franchement ravir Nantes et Sochaux.

Caen a-t-il plus de chances de se maintenir actuellement qu’il n’en avait lors de sa dernière descente ?

Il y a quatre ans presque jour pour jour, les Caennais étaient déjà à la lutte afin de ne pas sombrer à l’étage inférieur. Si nos Caennais 2008-2009 possèdent à l’heure actuelle un total de 37 points, leurs prédécesseurs en possédaient, eux, déjà 39. De ce point de vue, notre génération semble moins bien embarquée. Mais à pareille époque, les hommes de Franck Dumas déjà, étaient à la dix-huitième place du classement contre la seizième actuellement. Par ailleurs, la différence de but d’alors était de -24, elle est de -4 en ce moment ce qui laisse une bonne marge. Les deux championnats n’étant significativement pas les mêmes, la comparaison est difficile. Disons simplement qu’un programme final a priori simple avec Toulouse et Istres n’avait pas souri aux joueurs normands. Gageons que le programme musclé de cette année saura les motiver.

Peut-on envisager deux défaites lors des deux dernières rencontres et tout de même espérer un maintien ?

L’éventualité est attestée mathématiquement mais relève de l’impossible dans la réalité. Avec 37 points, Caen doit compter sur des contre-performances de tous ses adversaires s’il veut réussir à rester en Ligue 1 en s’inclinant lors des deux dernières rencontres. Par le passé, aucun club ne s’est maintenu avec un aussi faible total. Cependant, c’est souvent passé avec 39 points, ce qui constituerait deux matches nuls face à Lyon et à Bordeaux. Une simple victoire amènerait les Caennais à 40points, un total qui au vu du niveau des adversaires et surtout de leurs points actuels, devrait normalement suffire.



Tous les scénarios sont probables

SMCaen.net revient au cas par cas sur les chances de chacun de rester ou non en Ligue 1.

19ème Nantes, 34 points

Promu cette année en Ligue 1 après sa descente il y a deux saisons, la première depuis 44ans, le FC Nantes risque, comme nous l’avions dit, de connaître une nouvelle énorme désillusion. Les deux dernières journées l’envoient dans un premier temps à Sochaux puis le font recevoir l’AJ Auxerre dans son antre où il n’est plus vraiment maître à bord. Une victoire face aux Doubistes ne sortirait pas les joueurs d'Elie Baup de la zone de relégation même si tout le monde perdait devant : leur différence de buts négative est trop importante. Et si l'on imagine pire scénario, un match nul ne les satisferait pas du tout, et les reléguerait même, en cas d’un match nul au minimum de Caen et Saint-Etienne. Autant le dire, Nantes doit réaliser l’irréalisable : gagner à tout prix et compter sur une contre-performance générale de ses adversaires. Une victoire ne suffisant pas contre Sochaux, il faudrait remettre le couvert contre une équipe d'Auxerre en forme, dans une Beaujoire où Nantes n’est guère convaincant. En guise de bilan, retenons que l'équipe d'Elie Baup est la seule équipe pour laquelle une unique défaite est condamnable et pour laquelle deux victoires peuvent ne pas suffire. Dur !

Les plus :
Une équipe dos au mur qui n’a plus rien à faire que se lâcher sur le terrain.
Un entraîneur, bien que dépassé ces temps-ci, qui a l’expérience des grands rendez-vous à hauts risques.
Des piliers tels que Da Rocha et Alonzo qui peuvent faire la différence.

Les moins :
Un fond de jeu inexistant et une apathie défensive saisissante, notamment lors des fins de matches.
Une situation au classement quasiment condamnable et un destin qui ne sera jamais entre les mains des Nantais.
Un public qui s’impatiente et qui semble avoir en partie lâché l’équipe.
Le triste bilan d’une seule victoire lors des quatorze derniers matches : bien trop peu pour espérer quoi que ce soit.


Avis de la rédaction : 5% de chance de se maintenir.
50% de chance d’être relégué dès l’issue de la 37ème journée.


18ème Sochaux, 36 points

Les lionceaux sont-ils blessés ? Mis à mal par le Stade Malherbe de Caen samedi dernier, ils ont subi ce qu’il y a de plus blessant en terme de déroute : une défaite face à un concurrent direct. Et le coup est double car les joueurs de Francis Gillot sont retombés droit dans la zone rouge avec un point de retard sur Saint-Etienne et Caen, et deux sur Le Mans. Samedi, ils vivront un nouveau match de la mort contre Nantes avec une menace inédite cette saison sur les épaules. Les lois mathématiques étant immuables, s’ils venaient à s’incliner et que les concurrents de devant s’imposaient, les Sochaliens diraient tout simplement adieu à la Ligue 1 à une journée du terme. Mais nous n’en sommes pas encore là. La faiblesse actuelle de Nantes laisse de bons espoirs aux Doubistes mais la tendance pour cette fin de saison donne clairement pour relégués avec le Havre : Nantes, Sochaux ou les deux. Malheur au vaincu. Pour conclure une saison très compliquée, Sochaux se rendra à Grenoble, le verrou de la Ligue 1 qui marque peu mais qui en prend très peu aussi. Un match en somme tout sauf simple à négocier pour les hommes de Francis Gillot.

Les plus :
Six victoires à domicile en 2009 qui devraient permettre d’aborder le rendez-vous face à Nantes avec confiance.
Un duo Erding-Sverkos capable de faire des ravages.
Un public qui y croit encore fermement.

Les moins :
Une série de matches nettement moins bonne depuis l’entame du dernier sprint avec une seule victoire en six rencontres.
Une incapacité à s’imposer dans les matches face à des concurrents directs (défaites au Havre, au Mans et à Caen)
Une équipe qui devant ses bons résultats de 2009, comparés à ceux du début de saison, s’est peut-être vue sauvée trop vite.


Avis de la rédaction : 50% de chance de se maintenir.
5% de chance d’être relégué dès l’issue de la 37ème journée.


17ème Saint-Etienne, 37 points

Qu’importe la place où il finira, même si la Ligue 2 serait la plus terrible, Saint-Etienne aura été le flop de cette saison 2008-2009. Incapable de décoller du fond de classement, les Verts pourtant 5ème du dernier exercice, ont évidemment déçu. Généralement relégables tout au long de la saison, le fait qu’il ne le soient plus à l’aube de la 37ème journée tient du miracle : celui de voir un nombre assez conséquent de club embourbés dans la lutte. Tenus en échec 2-2 samedi face à Toulouse alors que la victoire quasi synonyme de maintien leur tendait les bras, les Stéphanois ont un virage très serré à négocier samedi. La destination s’appelle Auxerre, une équipe qui finit en trombe et qui vient tout simplement d’enchainer 5 victoires de suite.
Alors qu’on la voyait à la lutte pour le maintien jusqu’au bout, l’équipe de Fernandez a brillé et voudra à coup sûr finir en beauté devant son public. Saint-Etienne, avant-dernière équipe à l’extérieur, fait office de victime parfaite. La victoire au Havre, vu le nombre d’équipes qui s’y sont imposées, n’avait rien d’une délivrance. Saint-Etienne serait mal avisé de perdre, surtout si les résultats autour se révèlent néfastes. Une défaite stéphanoise et une victoire sochalienne ferait basculer à coup sûr les Verts dans la zone rouge. Ils n’auraient alors plus leur destin entre les mains et s’offriraient un final de torpeur face à Valenciennes devant leur public.

Les plus :
Saint-Etienne possède l’un des plus grands publics de France qui ne les lâchera jamais.
Les Verts possèdent l’entraîneur tenant du titre, Alain Perrin, capable donc de grandes choses.
Des individualités telles qu’Ilan, Gomis ou Payet capables de faire la différence n’importe quand.
Une seule défaite lors des cinq derniers matches.

Les moins :
Des errements défensifs récurrents cette saison, encore face à Toulouse samedi et dont on doute qu’ils aient disparu pour les deux derniers matches.
Saint-Etienne se bat pour la descente depuis le début de la saison et n’a jamais fait le trou : usure mentale éventuelle.


Avis de la rédaction : 65% de chance de se maintenir.
15% de chance d’être sauvé dès l’issue de la 37ème journée.


16ème CAEN, 37 points

S’il y a une différence notable entre le Caen 2009 et le Caen 2005, c’est que le Caen actuel sait gérer la pression des matches couperets. La victoire face à Sochaux n’aurait pas eu lieu il y a quatre ans et ce point d’ancrage est parmi les facteurs de taille qui conditionneront le maintien malherbiste. Samedi, les Caennais iront à Lyon qui dira, pour la première fois depuis sept ans, au revoir à son public sans soulever de trophée. Vainqueurs de Marseille au Vélodrome, les Lyonnais ont peut-être à eux seuls fait basculer la saison caennaise. Tout d’abord car leur succès combiné à la défaite parisienne face à Auxerre leur assure quasiment la place en tour préliminaire de la Ligue des Champions, en somme, le match contre Caen ne sonne plus comme véritablement décisif. Par ailleurs, en battant Marseille, ils ont offert à Bordeaux, l’ultime adversaire caennais, un avantage en tête de trois points, peut-être décisifs pour la suite.
En effet, si Bordeaux s’impose face à Monaco, il aura une main sur le trophée et peut-être les deux si Marseille ne gagne pas à Nancy. La perspective de recevoir un Bordeaux libéré et champion n’est pas la même que celle de recevoir les Girondins encore totalement concernés par le titre. Quoi qu’il en soit, perdre à Lyon ne serait pas une excellente opération mais l’ultime match contre Bordeaux aura quoi qu’il arrive de l'intérêt. Caen a montré l’an passé avec un cinglant 5-0 qu’il pouvait battre ces Bordelais-là (même si Gourcuff n’était pas encore là) et les fins de saison sont parfois stupéfiantes. La perspective de fin de championnat peut permettre aux Malherbistes de se lâcher définitivement. Et Dieu sait qu’avec des individualités telles que Savidan et Ben Khalfallah, tout peut aller très vite dans un match débridé. Les chances caennaises face à Bordeaux n’apparaissent alors plus aussi minces qu’auparavant.
Le SMC possède un avantage qui pourrait être déterminant : sa différence de but. De très loin la meilleure, elle peut faire gagner une place en cas d’égalité finale, peut-être celle du maintien. Autre paramètre à prendre en compte et pas des moindres : Caen a son destin entre ses mains et peut surtout être sauvé de tout danger dès samedi. Mais l’exploit serait énorme, il faudrait aller gagner à Lyon, ni plus ni moins, ce qu’aucune équipe autre qu’Auxerre n’a su faire cette saison. Une victoire caennaise combinée à une défaite stéphanoise ou un nul ou défaite de Sochaux propulserait les Malherbistes vers la prochaine Ligue 1. L’ultime journée serait alors une grande fête en compagnie des éventuels futurs champions. Mais ce scénario est un rêve car Caen peut tout aussi bien replonger dans la zone rouge en cas de succès stéphanois et sochaliens combinés à une défaite à Lyon. Le dernier match serait alors le plus crispant qui soit et ce scénario est presque le plus probable.

Les plus :
Un Steve Savidan visiblement de retour et motivé pour aller chercher le maintien. De même pour Ben Khalfallah.
Une efficacité à domicile retrouvée depuis deux matches avec deux victoires et cinq buts marqués.
Une différence de but très correcte, de loin la meilleure des équipes qui luttent.
La possibilité de s’offrir un final devant son public (ce n’était pas le cas il y a quatre ans) et de faire exploser le match (rappelez-vous de ce match face à Créteil il y a trois années).

Les moins :
Clairement le calendrier le plus compliqué des équipes en lutte, qui condamne d'ores et déjà le SMC d’après certains journalistes : déplacements à Lyon et réception de Bordeaux.
Des errements défensifs et des erreurs individuelles telles que la bourde de Gomis à Auxerre.
Un jeu trop inconstant : Caen est capable du meilleur comme du pire.

Avis de la rédaction : 50% de chance de se maintenir.
5% de chance d’être sauvé dès l’issue de la 37ème journée.


15ème Le Mans 38 points

La Sarthe peut trembler. Le Mans n’est pas encore sauvé même s’il demeure le mieux placé des cinq équipes qui luttent pour ne pas finir aux deux dernières places maudites. Vaincue quatre fois en autant de rencontres depuis la 32ème journée, la formation sarthoise déjoue et pourrait le payer cash. Elle pourrait tout simplement, dans le pire des cas, glisser dans la zone rouge dès la prochaine journée et s’offrir un finish tout à fait imprévu. Le Mans n’a en effet jamais été relégable cette saison et une défaite à domicile face à des Grenoblois libérés, combinée à des succès stéphanois et sochaliens et à un simple nul caennais les ferait basculer. La dernière journée les envoyant à Lorient serait de toute évidence terrible pour les supporters, pas vraiment préparés à vivre de telles émotions. Les coéquipiers de Le Tallec, pourtant fringuant à Bordeaux seraient bien avisés de vaincre Grenoble samedi pour faire un pas quasi définitif vers le maintien.

Les plus :
Deux points d’avance sur la zone rouge, une avance somme toute pas négligeable.
Une équipe vaillante qui a démontré son caractère lors du match à Bordeaux (perdu finalement 3-2).

Les moins :
Un groupe qui ne s’était pas préparé à vivre la lutte jusqu’au bout et qui pourrait céder à une soudaine panique.
Une série terrible à ce moment du championnat de quatre défaites de suite.
Helstad, le meilleur buteur manceau, muet depuis deux mois.

Avis de la rédaction : 80% de chance de se maintenir.
50% de chance d’être sauvé dès l’issue de la 37ème journée.


Un final indécis, malgré nos statistiques, le football n’est pas une règle et n’est régit par aucune constante. Nantes peut tout aussi bien se sauver que Le Mans être relégué. Mais l’étau se resserre, on en saura plus après la 37ème journée et ce Lyon-Caen palpitant. Le lyonnais Juninho a fait en sorte que son dernier match avec l’OL soit devant son public de Gerland contre Caen*, et il désirera, lui l’amateur de chiffres ronds, porter ses 99 buts avec l’OL à 100 unités. Vincent Planté, le reste de l’équipe, la ville de Caen et la Basse-Normandie n’ont qu’à bien se tenir. A Savidan et consort de répondre par le jeu, c’est par-là de toutes façons, au-delà de toute statistique, que passera le maintien.

* Lors du match OM-OL, Juninho était à la merci d'une suspension pour le match de la 38ème journée face à Toulouse s'il prenait un jaune. Buteur sur coup-franc dans les arrêts de jeu, le meneur lyonnais a délibérément ôté son maillot pour obtenir un carton jaune et ainsi faire en sorte que l'histoire lui fasse finir son aventure nulle par ailleurs qu'à Gerland.